Les goûts musicaux de François FILLON

François Fillon aime Police et Sting. « An Englishman in New York » est sa chanson préférée. Il aime davantage les Beatles que les Stones. Son 1er concert est Pink Floyd ; il aime aussi Jefferson Airplane et Dire Straits.
Dans le jazz, il aime Sonny Rollins, Madeleine Peyroux, Melody Gardot et Pat Metheny. L’influence de son frère, rebelle et pianiste de jazz d’une certaine notoriété n’y est pas pour rien.
Dans la chanson et la variété, l’ex-premier ministre fait dans le classique avec Georges Moustaki, Georges Brassens et Jacques Brel.
Pour terminer, c’est un fin amateur de musique classique de par son père mais Fillon n’a pas dit quels étaient ses compositeurs préférés ; on peut supposer qu’il admirait Chopin et Liszt puisqu’il a assisté à l’un des derniers concerts de George CZIFFRA.

J’ai eu ma période chanson française – Brel, Brassens, Moustaki -, mais ensuite, c’est surtout vers la pop music anglaise et américaine que je me suis tourné. J’étais plus Beatles que Rolling Stones (même si j’étais au dernier concert des Stones au Stade de France) et mon premier 33-tours, c’était Revolver. Je revois encore la pochette, les visages dessinés au crayon. Et je n’ai plus décroché : Dire Straits, Jefferson Airplane restent parmi mes favoris. En 2006, j’ai surpris une journaliste de télévision en lui faisant découvrir Amy Winehouse.
Dans ma vie d’élu, je suis très fier d’avoir développé le Festival de musique baroque de Sablé-sur-Sarthe, qu’avait créé mon prédécesseur à la mairie, Joël Le Theule. Une de mes plus grandes émotions musicales, je l’ai d’ailleurs vécue à Sablé, au centre culturel : c’était un des derniers concerts du pianiste hongrois Georges Cziffra, un homme hors du commun, un virtuose, mais surtout un artiste d’une extraordinaire sensibilité, et d’une grande générosité. »

ROCK

JAZZ

CHANTEUSES À VOIX

François Fillon a une certaine attirance pour les voix féminines bien typiques :

Mon rapport avec la musique passe beaucoup par la voix ; les voix qui sortent de l’ordinaire, un peu fêlées, rauques. Les voix de femmes, les chanteuses de jazz particulièrement, comme Madeleine Peyroux ou Melody Gardot. Ou Annie Lennox, dans un autre registre.
Cet amour des voix me vient de mon père. Il m’a initié à la musique classique, a formé mon oreille. Lui-même chantait dans des groupes de choristes, comme c’était très à la mode dans les années 1950. Il m’a transmis l’amour du jazz. Comme à mon frère qui, lui, est devenu pianiste professionnel.

Annie LENNOX, Madeleine PEYROUX, Melody GARDOT

CHANSON, VARIÉTÉ

CLASSIQUE

Dominique FILLON, pianiste de jazz

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *